(Forokh thiaya) : Théorie facile autour d’une succulente coïncidence

Et si c’était plutôt « forok – caaya » ?

En interpellant un inconnu, il n’est pas rare, dans nos cultures, qu’on décrive la personne par son accoutrement ou par ce qu’elle porte :
– Eh borom ndox
– Eh, woowal ma borom xaftaan boobou

Donc pour interpeller ces vendeurs de viande, on les nommait par leur tenue, composée d’un petit boubou appelé « forok » et d’un « thiaya ».
Donc boroom « forok – thiaya »

Succulente coïncidence

Et, comme par hasard, leur caaya, tenue de travail, n’est jamais des plus propres, leur identification fit focus sur le “caaya” et son état peu hygiénique. Et on oublia le petit boubou
Le “caaya” sale devint « forox caaya ». Et comme la viande n’a, elle, rien perdu de sa succulence, on ajouta « neex bol »

bon appétit à l’ami @Diol, adepte de la fourchette édentée et du “koogu ñeex”